Le changement climatique en haute montagne fait avancer la connaissance des archéologues. Il entraine la fonte des glaciers. Une des conséquences : des milliers de vestiges emprisonnés jusqu’alors sous leur surface de la glace se dégagent de leur gangue et deviennent visibles.
Les archéologues en font leur miel et tirent des informations de ces vestiges. Ces découvertes ont révélé la fréquentation de la très haute montagne par les hommes du néolithique comme lieux de passage ou pour l’exploitation des ressources naturelles.
Côté français, l’archéologie glaciaire en est encore balbutiante. Dans le massif alpin, la difficulté vient de l’étendue des sites englacés et de leur difficulté d’accès. 98% des découvertes de vestiges sont le fait de randonneurs.
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